Vite dit, mais nous risquons toujours d'en avoir deux pour le prix d'un.
A notre droite, le maire en place : un bolchevique mou soutenu par l'UMP qui, par des manœuvres frauduleuses lorsqu'il était président de l'ASLDS, a collectivisé les équipements d'intérêt général du Domaine de Santeny sans indemniser leurs quatre cents légitimes propriétaires du Domaine de Santeny. Préjudice : 27 millions d'euros. Ces biens avaient été eux-mêmes détournés par Maxime BREGUET avant de ressurgir, onze ans après son suicide et sans que l'administrateur de la succession ait informé ses créanciers de sa disparition. D'ailleurs, les constructions n'existent pas puisqu'elles n'ont pas fait l'objet de permis de construire et que le Service France Domaine de la Direction générale des finances publiques vient de constater qu'il ignorait que la commune en était devenue propriétaire. Le tract - sur papier glacé s.v.p. – de ce filou patenté, vous assure qu'il maîtrise la dépense publique: bien sûr, sa commune n'eut pas à financer le groupe scolaire, les logements de fonction, les VRD du Domaine, la voirie départementale voisine, le réseau d'assainissement général, payés par les 400 propriétaires intéressés qu'il a dévalisés. Il peut ainsi cultiver le bien-vivre, surtout préoccupé par des manifestations festives et à défigurer le paysage avec des équipements sportifs superfétatoires. Voir aussi les hideux clapiers construits vers l'ancienne gare.
En face, le challenger. ENORME ! Président d'une bande organisée, il s'oppose à celui qui lui a légué une partie du butin immobilier – le centre de loisirs du Domaine, tout aussi dépourvu de permis de construire – détourné frauduleusement par son prédécesseur dont il brigue la succession. Cet autre gredin, lui, extorque annuellement 350 0000 euros des victimes du maire actuel sous forme de cotisations assimilées à des charges d'une copropriété qui n'existe pas. Celui-là prône froidement la démocratie locale et souhaite une campagne électorale constructive et sereine.
Avant de s'expliquer entre eux, ces grotesques caricatures d'un Etat corrompu ne devraient-elles pas s'engager à nous libérer des mensonges dont ils sont prisonniers et nous restituer, pour l'un, l'exercice du droit inaliénable et sacré sur la propriété du centre de loisirs qu'il possède et exploite et, pour l'autre, à nous verser une juste indemnité pour les équipements collectifs d'intérêt général que la commune recèle depuis 1991 après les avoir récupérés d'un assassin.
Sinon, votez avec vos pieds …