Il fut écrit ici (20/11/2014) que M. GENDRONNEAU "avait déjà participé à la résolution de l'opération immobilière véreuse, dite ZAC des 40 Arpents, permettant à M. Max Brac de La Perrière de céder directement ses terres à l'aménageur alors qu'elles devaient être acquises par la commune au prix des Domaines, qui ne furent pas consultés".
L'expression "Opération immobilière véreuse" a choqué le fils de M. Max BRAC de La PERRIERE (Hugues) dont l'épouse s'est derechef intéressée à l'aménagement du territoire dans ses nouvelles fonctions de conseillère municipale. Ils protestent tous deux de l'intégrité morale de leur père et beau-père, premier adjoint au maire à l'époque des faits et décédé en 1990, quelques mois avant que M. GENDRONNEAU ne soit délégué à la solution finale d'une escroquerie élaborée en 1971. Cependant :
a) "Nul n'est censé ignorer la Loi " et un élu moins que tout autre.
b) La corruption est "le fait d'offrir, promettre ou octroyer un avantage pécuniaire ou autre à un agent public à son profit ou au profit d'un tiers, pour que cet agent agisse ou s'abstienne d'agir dans l'exercice de ses fonctions officielles en vue d'obtenir ou conserver un avantage indu".
La loi, en l'occurrence celle de l'orientation foncière (LOF) du 31/12/1968, exigeait que la commune ait acquis le foncier de la ZAC avant d'en céder l'aménagement à une personne morale de droit public ou privé. La participation de la commune, par sa maîtrise du foncier et les garanties apportées par une éventuelle intervention de la CDC, devaient protéger les acquéreurs des 400 lots du Domaine de Santeny d'une éventuelle défaillance de l'aménageur.
La commune fut exclue des transactions sur la propriété du foncier de la ZAC au bénéfice de mutations à terme entre le propriétaire et l'aménageur. En l'exonérant de l'intervention des Domaines, ce propriétaire obtint un bien meilleur prix que celui espéré d'une évaluation officielle. Il courait alors le même risque que les nouveaux propriétaires de lots ; ce qu'il lui fallait éviter.