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Titre du blog : Santeny - Autres nouvelles d'un domaine immobilier
Auteur : santeny-domaine-nouvelles
Date de création : 20-12-2010
 
posté le 12-02-2017 à 21:13:51

SANTENY station balnéaire ?

La «ZAC des 40 Arpents» fut créée par un arrêté du Préfet L.LANIER en date du 26/11/1971, un acte réglementaire qui devait être publié au J.O.R.F. et au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Val-de-Marne. Il n'a pas été publié mais une mention manuscrite lui attribue le "n° 1177", succédant au dernier des arrêtés publiés en 1971 qui s'interrompent au 986ème ; ceux de 1972 repartent au n°1. Le document n° 1177 désigne les communes des Côtes-du-nord, du Morbihan et du Finistère qui accueilleront les "classes de mer" créées par l'arrêté n° 986. Le prétendu arrêté de création de la ZAC, portant ce même numéro, 1177, fut retrouvé aux archives départementales dans un carton 1266W 572 contenant l'arrêté 33.974 du 22/12/1971 accordant le permis de construire 400 pavillons, lequel arrêté ne fut pas publié, ni celui approuvant la création du lotissement du « Domaine de Santeny » et approuvant son cahier des charges et pas plus que ne le fut celui approuvant la convention d'aménagement de la ZAC des 40 Arpents. Ces deux derniers arrêtés sont respectivement évoqués par les Préfets et les Directeurs des Services Fiscaux et des Finances Publiques comme références des servitudes, participations et contributions imposées aux fonds du «Domaine de Santeny» et à leurs propriétaires, notamment l'obligation de payer des cotisations à la pseudo Association Syndicale de Propriétaires dite ASLDS.

 

Santeny Plage

 

Le Préfet LANIER fut un représentant de l'élite républicaine, bardé de diplômes, couvert d'honneurs, de décorations et de médailles mais aussi un peu faussaire. Est encore maire de Santeny l'un de ses disciples qui participa à l'escamotage, en 1991, de toutes les parties communes et des équipements collectifs, de notre prétendu lotissement/ZAC, qui se retrouvèrent dans les équipements publics de la commune et dans le patrimoine de la bande organisée dont il venait d'être nommé président. Et l'on vient reprocher à M. FILLON d'avoir salarié légalement sa petite famille, pour un ou deux millions soustraits des fonds publics, alors qu'ici et avec la complicité de M. GENDRONNEAU, la puissance publique détroussa frauduleusement certains de ses assujettis de biens immeubles évalués à trente millions, au bas mot. Les manquements au devoir de probité leurs sont communs et Mme LE PEN a toutes ses chances, hélas …